Ce qui va suivre est la transcription automatique (merci l’IA !) de mon nouvel épisode de Podcast. Le plus simple est encore d’aller l’écouter, de t’abonner au podcast, et de le partager SANS MODERATION ! PS : qui dit intelligence artificielle, dit petites coquilles dans le rendu écrit : ne m’en veux pas, c’est pour voir si tu suis 😉
En cette période de fête de fin d’année, j’ai enregistré un épisode un peu spécial avec Élodie, ma petite sœur. Même si nous avons été élevées ensemble de la même façon, nous sommes bien différentes toutes les deux… Elle m’a toujours semblé être bien plus à l’aise dans ses baskets que moi. Et elle a réussi, là où je n’y arrive toujours pas, à presque 40 ans, tenir tête à notre maman ! Élodie, c’est aussi un véritable chat noir, et elle a essuyé pas mal de galères… Mais malgré tout cela, Elodie a décidé de rester positive pour aller de l’avant, parce que c’est bien connu, regarder derrière, ça ne fait avancer personne ! Sa force de résilience m’a toujours impressionnée. Et petit pas par petit pas, elle a construit sa vie à la force de son travail et de sa pugnacité. À la naissance de son second enfant, dans une ambiance bien plus apaisée, avec un conjoint qui la soutient, mais dans une vie professionnelle qui l’épuise. Elle décide de mettre sa carrière sur pause et prend un congé parental. Frustrée de ne pas avoir pris plus de temps pour son aîné à l’époque, et de profiter pleinement de ses premiers mois de vie, elle s’est engagée dans ce projet et ce fantasme de maternité pour son second. Mais en pratique, en dehors de son bébé, elle a vraiment tout détesté dans cette vie de mère au foyer ! Pour autant, elle n’avait pas du tout l’envie de retourner à son poste. Et c’est justement là que le bât blesse. Son job ne l’éclatait pas. La passion pour son métier avait disparu, mais elle devait bien trouver quoi faire de sa vie professionnelle à présent. Puis vint une opportunité qu’elle ne pouvait pas décliner et qui l’a obligée à sortir de sa zone de confort.
Elodie : présentation de sa vie professionnelle
Elodie, présente-toi, dis-nous qui tu es, d’où tu viens et ce que tu fais dans la vie ?
Alors moi c’est Élodie, bientôt 35 ans. Je viens de Perpignan et je suis coiffeuse depuis presque 20 ans maintenant.
Coiffeuse, c’est un vaste métier. Mais coiffeuse, à quel titre ? Tu travailles à titre indépendant, à titre salarié ? Raconte-nous un petit peu ton parcours.
Alors, pendant 16 ans, j’ai été ouvrière, employée dans divers salons. Et depuis maintenant, depuis bientôt deux ans, à mon compte, en tant que coiffeuse indépendante.
Et comment ça s’est passé, ce passage à ton compte ?
Alors, la décision s’est prise pendant le congé maternité pour mon deuxième enfant, qui a bientôt trois ans. Pendant ce congé, je me posais la question de savoir si vraiment je voulais continuer dans la coiffure ou pas. C’est un ras-le-bol général de l’ambiance des salons de coiffure. De ne pas apprécié à ma juste valeur, pas valorisé comme je l’aurais aimé. Donc, je me renseignais un peu à droite, à gauche… Et puis j’ai eu cette opportunité de m’installer en tant que coiffeuse à domicile, en intervenant principalement dans une résidence senior.
Mais du coup, la coiffure ne te plaisait plus suffisamment parce que c’est ta passion depuis gamine.
J’ai toujours voulu devenir coiffeuse. Je pense qu’il est arrivé un moment où ma passion s’est un petit peu éteinte. Je pense que les gens pour qui j’ai travaillé ont éteint la flamme que j’avais pour le métier. Je n’étais plus en phase. Je cherchais, je pense que je me cherchais aussi… Et puis ça a été le congé maternité, puis parental, aussi une période assez compliquée, déprime… On est coupé de tout lien social d’un coup ! J’ai quand même un premier enfant qui va bientôt faire 13 ans. Pour lui, j’ai repris le boulot, il avait deux mois, je n’ai pas pris le temps…. J’avais toujours dit, si un jour j’ai la chance d’avoir un autre enfant, je prendrais un congé parental. Mais ça ne se passe pas comme on le pense vraiment. En tout cas, ce n’est pas mon truc de rester à la maison qu’avec bébé. Du coup, je me posais plein de questions… Est-ce que je suis une bonne maman ? Est-ce que vraiment je continue dans la coiffure ? Est-ce que je n’ai pas envie de faire autre chose ? La question, c’était ensuite et quoi ?
Je me souviens que le congé parental, à l’époque, tu ne l’as pas pris pour des raisons de problématiques financières, ce que tu ne voulais pas revivre avec ton deuxième.
Pour le premier, ça a été la nounou, papy et mamie. Et maman était plus ou moins inexistante dans sa vie…
C’est vrai que les horaires que tu avais quand tu étais en salon de coiffure, c’est beaucoup de travail le week-end, de grosses amplitudes.
C’était du lundi au samedi, je le posais à 8 heures et je le récupérerai à 19h30… Est-ce que j’avais envie de cette vie ? Est-ce que je veux à nouveau cette vie-là ? Et j’avais la chance pour le deuxième enfant d’être encore avec le papa, chose que je n’avais pas pour le premier. Donc on voit les choses différemment.
Elodie : Evolution, notamment avec un conseiller en évolution professionnelle
C’est un petit peu moi qui t’ai apporté cette opportunité, puisque je dirige la résidence senior dans laquelle tu interviens notamment. La coiffeuse habituelle cessait ses activités, et là, je me suis dit : tiens, Elodie, elle broie un peu du noir et elle tourne en rond chez elle à savoir ce qu’elle veut faire de sa vie, elle aime bien travailler avec les personnes âgées… Parce que tu avais cette inspiration-là à un moment. Tu avais même envisagé de faire une formation de thanatopraxie il me semble.
Je commençais à me renseigner, entre ça et l’aide à domicile, le contact justement avec les gens, notamment âgés, parce que j’aime bien. Le métier lié à la préparation des corps, parce que je trouvais que ça allait un peu en continuité avec ce que je faisais, la mise en beauté des gens, mais pour leur dernier voyage, pour rendre une certaine dignité aux défunts.
Donc, du coup, tu n’as pas eu à aller au bout de cette démarche-là, puisque Zorro est arrivé, en ma personne ! Et donc, grand bouleversement. Comment as-tu appréhendé ça ?
Quand j’ai eu ton coup de fil pour me faire part du projet, ça m’a chamboulée… Parce que l’idée m’avait déjà traversé l’esprit, de m’installer moi à mon compte, mais moi, j’ai mon parcours, j’ai quand même élevé mon premier enfant pendant sept ans toute seule… Je ne pouvais pas… je me mettais beaucoup de barrières pour me lancer toute seule, pour le côté financier, tout ça… Mais là, le contexte était différent, j’avais le soutien de mon conjoint… Je ne me suis pas posé la question plusieurs fois, et au bout d’une heure, je t’ai rappelé en te disant que j’avais déjà préparé mes tarifs, mes amplitudes horaires, ce qu’il faudrait que je fasse, combien de chiffres d’affaires par jour pour pouvoir payer des charges, des machins, des trucs, sans savoir vraiment où je mettais les pieds !
Enfin voilà, j’ai réfléchi, je n’ai pas réfléchi longtemps, je me suis dit, mais là, c’est le moment, en fait, il n’y a pas de frein, j’ai une sécurité, si je me plante, il est là, les enfants ne sont pas à la rue, j’aurais de quoi remplir leurs assiettes.
Du coup, comment ça s’est organisé ? Parce que tu étais en congé parental, donc salarié sous contrat.
J’ai d’abord contacté mon employeur, chez qui j’étais en poste depuis 8 ans, en lui expliquant mon projet. Déjà, j’ai été transparente, j’ai été honnête. Et je lui ai demandé de faire une rupture conventionnelle, dans l’idée de pouvoir percevoir le chômage, pour avoir une petite ceinture de sécurité, on va dire. La rupture conventionnelle, elle me l’a refusée, chose que j’ai compris, elle n’était pas dans l’obligation de l’accepter.
Mais la question s’est posée parce que si je démissionnais, je perdais tout. Donc, dans ma tête, ça tournait un petit peu en rond, parce que je ne savais pas trop vers quoi je pouvais me tourner. Je n’avais pas d’argent à côté, et le projet devait se décanter assez vite, au risque que quelqu’un d’autre prenne le relai à ma place.
Et j’ai la belle-mère de mon mari qui travaille à la Chambre des métiers de Perpignan qui m’a parlé du conseiller en évolution professionnelle, chose que je ne connaissais absolument pas. J’ai donc pris rendez-vous avec une conseillère et je lui ai expliqué mon projet. Ensuite, j’ai dû monter un dossier assez solide pour prouver la validité de mon projet, pour montrer que j’allais démissionner, mais ce n’était pas pour faire chou blanc après ! Ensuite, je suis passée en commission devant un jury, qui a délibéré et qui m’a appuyée en me disant que oui, mon projet était fiable. Donc, ils m’ont autorisé à démissionner, ma démission devenait donc légitime et me permettait de percevoir les indemnités chômage.
Donc, ce conseil en évolution professionnelle, c’est l’étape nécessaire pour pouvoir démissionner, c’est ça ?
Exactement ! Et je ne connaissais absolument pas, donc j’ai trouvé ça super et je trouve qu’il devrait y avoir plus de communication justement sur ce sujet ! C’est vrai que la démission ne permet pas de bénéficier des droits au chômage immédiatement, car on n’a pas de motif légitime, et pour avoir un motif légitime, notamment la création d’entreprise, il faut passer par la case du conseiller en évolution professionnelle.
Mais c’est très bien parce que ça m’a permis quand même de découvrir beaucoup de choses, notamment un stage sur lequel je me suis positionnée tout de suite après.
Donc, ça t’a envoyé en formation aussi ?
Oui. Ce n’était pas une obligation, mais j’ai préféré le faire et je ne regrette absolument pas parce que j’ai pu déterminer sous quel statut je voulais me placer. Parce que quand on fait les études en coiffure, notamment pour le brevet professionnel, on aborde un peu ces sujets de statut et tout ça, mais on le survole.
Cette formation et ce conseil en évolution, je le conseille pour tout le monde. Si on a l’ambition de démissionner pour monter son entreprise ou pour se lancer dans tout autre chose, je trouve que c’est très bien parce qu’en plus, c’est du service public, c’est gratuit, et les accompagnants sont super. Celle à qui j’ai eu affaire a été extraordinaire.
Du coup, ça t’a permis finalement de cadrer vraiment ton projet, d’affiner un petit peu ça avec une formation, et derrière, tu as soutenu ton projet devant ce jury. Qui a validé en disant.
En sachant que le projet, quand on le présente au jury, ce n’est pas moi qui vais, je ne fais pas un grand oral.
C’est ta conseillère qui l’a défendu ?
Pas du tout. On a tout mis sur papier. On en a discuté, elle et moi, pendant au moins quatre rendez-vous, du travail mois à la maison, elle, elle reprenait un petit peu… En tant que dyslexique, les fautes d’orthographe étaient nombreuses ! C’est-à-dire que je ne me présente même pas au jury. C’est le seul truc, le petit point négatif que je dirais.
Oui, parce que l’intérêt principal dans ton schmilblick , en étant inscrite au chômage avec un statut d’auto-entrepreneur, c’est de bénéficier de cotisations de charges réduites sur les premières années, c’est ça ?
Alors oui pas forcément pour être au chômage. D’être inscrite au chômage et d’être un auto-entrepreneur, c’est de pouvoir soit bénéficier d’un complément de salaire, ce qui donne un minimum vital qui n’est pas négligeable, soit, et c’est ce que j’ai retenu, c’est la possibilité de percevoir mes droits en deux règlements, à 6 mois d’intervalle. J’ai choisi la deuxième option parce que j’avais des frais pour le démarrage, avec l’achat de matériel notamment. Et par rapport au business plan envisagé, je ne voyais pas l’intérêt du complément de revenus.
Mais quand on se lance, ce n’est pas la panacée, c’est bien de le dire, parce que tout le monde a l’image du chef d’entreprise qui réussit, qui a la visa gold pour payer ses factures. Pas du tout ! Même à l’heure actuelle, presque deux ans d’activité, je ne me verse pas non plus un gros revenu. Il y a la réalité aussi !
Donc, sur la temporalité, du coup, je me souviens, on en a parlé en décembre, je t’ai dit, bon, mais là, il y a une opportunité à prendre, il faut que tu y ailles. Et tu as démarré ça en avril-mai, donc cinq mois plus tard. Le conseil en évolution professionnelle et le dossier, ça t’a pris 3-4 mois ?
Alors, dans un premier temps, ce qui a été long, ça a été la négociation avec mon employeur. Après, en soi, monter le dossier, que ça passe en commission et tout ça, ce n’est pas très long. C’est juste que les commissions, il y en a, je crois que c’est une par mois, une tous les deux mois. Et j’étais prise dans le temps vraiment parce que je ne voulais pas que cette opportunité me file entre les doigts.
Mais en soi, quelqu’un qui prépare un petit peu les choses en amont, en l’espace de trois mois, ça peut se décanter. Déjà, pour les personnes qui sont un peu paumées, le conseiller en évolution professionnelle, c’est un premier pas !
Aujourd’hui, tu es en plein dans ta deuxième année d’activités. Comment te sens-tu ?
Je revis. Je re-aime, on va dire, mon métier ! Ça me conforte dans l’idée que c’est vraiment ma passion depuis toujours. J’ai du temps pour travailler. J’ai du temps pour gérer mes enfants, ma famille… J’ai gagné en qualité de vie, complètement ! Comme je disais tout à l’heure je gagne peut-être pas 5000 euros par mois, mais j’ai une tranquillité d’esprit.
Et justement par rapport à ton job salarié auparavant, financièrement, tu t’y retrouves là aujourd’hui, presque deux ans plus tard. Est-ce que tu gagnes l’équivalent de ce que tu gagnais à horaire équivalent ? Parce que je sais que tu travailles peut-être un petit peu moins.
Je travaille moins. Je travaille le lundi, le mardi, le jeudi et le vendredi. Je commence tous les matins à 9h30. Donc, ça, c’est génial. Et je finis, par contre, je n’ai pas d’heure ! Si je dois être là-bas jusqu’à 20h, j’y serai jusqu’à 20h.
Je ne gagne pas forcément plus, mais à côté de ça, je suis avec mes enfants, j’ai une vie. Je ne suis pas qu’au boulot. La reconnaissance, elle est pour moi. Je n’essaie pas de prouver à quelqu’un ma valeur, je me donne, c’est pour moi, et pour mes petites mamies que j’adore ! Je travaille avec la clientèle âgée, ce n’est pas facile, mais moi, je me régale. Comme je leur dis souvent, je n’ai plus mes grand-mères, mais elles sont toutes mes grand-mères ! C’est génial.
Du coup, aujourd’hui, qu’est-ce que tu penses en termes de rétrospective ? Ta plus grosse erreur dans la conduite de cette évolution de carrière ? Est-ce qu’il y a une boulette que tu as faite ? Tu as dit, oh là là, avec le recul, je pourrais faire les choses différemment ?
Pas spécialement. Juste une chose, avoir peur de me lancer, en fait. On se crée nous-mêmes des barrières dans la vie. Et même dans la vie de tous les jours, on avance dans la vie, on se le dit, mais non, il ne faut pas se mettre de barrières. Quand on a envie d’un truc, on va jusqu’au fond du truc, tout simplement.
Donc si je résume, ta plus grande réussite, c’est d’y être allée ?
Oui, complètement.
Qu’est-ce qui a été le plus difficile à concilier pour mener à bien ce projet, selon toi ? J’ai l’impression que l’équilibre personnel-professionnel est plutôt bien.
Oui, ça a été compliqué au début, parce qu’en tant que maman, toute maman me comprendra, on a beaucoup de charges. Et c’est compliqué d’essayer de déléguer, de faire comprendre aussi à l’autre où j’ai besoin. Je ne suis pas Wonder Woman, je ne suis pas Shiva, je n’ai pas 36 000 bras, je ne peux pas être sur tous les fronts ! J’étais en congé parental et je gérais H24… J’ai dû me débrouiller à vite trouver une nounou, de tout concilier. Ça n’a pas été évident au début… Parce que j’avais des formations à passer, il fallait vite que je me dépêche d’acheter du matériel, que j’aille travailler… C’est toute une autre organisation ! La maison quand même à gérer, les enfants, les courses, les repas. Mon conjoint a pu prendre un peu plus de place. Et il n’est pas mort, messieurs ! Si des hommes nous écoutent, il le vit très bien aujourd’hui ! Je ne suis pas toute seule.
Qu’est-ce que tu sais aujourd’hui et que tu aurais aimé savoir avant de te lancer dans toute cette affaire ?
Que rien n’est insurmontable. Je ne sais pas si c’était vraiment le bon terme. Il faut arrêter de se faire un monde pour pas grand-chose. Il faut y aller, quoi. Il faut y aller, voilà. Il faut foncer !
J’allais te poser la question de qu’as-tu gagné à te lancer, mais tu es épanouie !
Je me régale. Je me régale. J’aime mon métier encore plus qu’avant. Même si je fais que de la mise en pli ou de la permanente, des petits brushings, je me régale. Ça n’a rien à voir. C’est le principal.
Elodie : inspiration, pour sa boîte et au-delà !
Quelles sont tes perspectives ? Tu te vois où d’ici 5 ou 10 ans, par exemple ?
Toujours en place avec mes mamies ! Mon ambition plus tard, c’est de travailler quand même un peu plus. Là, je me permets de faire ça aussi parce que je peux, et parce que j’ai quand même un enfant en bas âge, le grand, bon, il commence à se gérer tout seul, mais bon, il a encore besoin de maman, mais le petit, il n’a que deux ans et demi. Donc, j’ai cette sécurité de me dire que je peux être à la maison avec lui. Après, à long terme… Je vais travailler plus, démarcher d’autres maisons de retraite, d’autres résidences. Mais de rester auprès du public âgé, ça me tient à cœur, parce que ça leur fait du bien, ce lien social. Et moi, ils me font du bien aussi.
Quelle est ton héroïne dans l’Histoire et pourquoi ?
Oh, enfin la reine d’Angleterre ! Elisabeth II, feue, Elisabeth II. J’ai toujours admiré cette femme. Elle a eu une vie qui ne lui était pas destinée, et elle l’a menée, mais alors, comme un chef. Elle est Admirable.
Quelle faute t’inspire le plus d’indulgence ?
J’allais te dire les fautes d’orthographe ! Alors, je dirais un mensonge, mais tout dépend de l’ampleur du mensonge. t.
Tu préfères thé ou café ?
Non, café. Beaucoup de café. Ah oui, trop de café. Trop.
Tina ou Afida Turner ?
Oh, ben Tina !
Star Wars ou Star Trek ?
Oh, Star Wars.
Avec ou sans ammoniaque ?
Je dirais avec, puisque je travaille avec de l’ammoniaque. J’en sniffe toute la journée !
As-tu un mantra, une citation ou une devise que tu t’appliques au quotidien ?
Ce qui ne tue pas rend plus fort.
Que dirais-tu à la femme que tu étais il y a quelques années avant d’amorcer ce changement de vie professionnelle ?
Avec le temps, tout passe. Comme la chanson de Léo Ferré !
Justement, quelle est la chanson qui te motive quand tu as le moral dans les chaussette ?
J’en ai tellement… On restera sur Mary Poppins !