Ce qui va suivre est la synthèse de mon dernier épisode de Podcast. Le plus simple est encore d’aller l’écouter, de t’abonner au podcast, et de le partager SANS MODERATION !
Je suis ravie de retrouver pour te présenter une super nana, qui me donne envie de croquer le monde à chaque fois que je parle avec elle 😁
Il y a deux ans, j’échangeais pour la première fois avec Magaly Zarka. Depuis, nos chemins ont évolué, nos projets aussi. Elle est aujourd’hui mentor et coach business. Elle accompagne les femmes à reprendre leur place, à assumer leurs ambitions, et à oser facturer ce qu’elles valent 👑.
Il y a des parcours qui ne ressemblent à rien de tout ce qu’on a vu. Celui de Magaly en fait partie. Pendant plus de dix ans, elle a célébré l’amour en tant qu’officiante de cérémonies. Aujourd’hui, elle aide les femmes à s’aimer elles-mêmes et à faire rayonner leur projet entrepreneurial. Comment passe-t-on de l’un à l’autre
Dans cet épisode, elle revient sur son parcours, ses doutes, ses déclics. Nous avons parlé de syndrome de l’imposteur, de reconversion, de posture, de prix, mais aussi d’énergie et de Lady Gaga.
Magaly Zarka : un parcours qui n’a rien de linéaire
Magaly ne s’est jamais levée un matin en se disant « tiens, je vais être coach ». Tout comme elle n’avait pas prévu de devenir officiante. Ce sont souvent les autres, ses clientes, ses amis, ses intuitions, qui l’ont mise sur la voie. Une mariée coach lui parle de valeurs, une amie lui glisse qu’elle ferait une excellente mentor. Elle observe, elle teste, elle ose.
Et quand une porte s’ouvre, Magaly a cette capacité rare de savoir la pousser franchement. Mais sans jamais renier ce qu’elle est. C’est ça, le fil rouge : être à sa place, tout en avançant.
Ce qu’elle a gardé du monde du mariage
Si tu penses qu’un officiant de cérémonie se contente de lire un discours le jour J, détrompe-toi ! Magaly accompagnait ses couples pendant des mois. Elle les faisait parler, se comprendre, s’aligner. Et parfois… se séparer. Elle-même l’admet : certaines annulations de mariage ont été des libérations. Mieux vaut un non clair qu’un oui flou.
Cette capacité à voir ce qui coince, à poser les vraies questions, elle l’a gardée dans son approche du coaching. Elle crée de la clarté là où il y a du flou. De la structure là où il y a de l’émotion brute.
Le coaching selon Magaly : entre posture et permission
Quand on lui demande ce qu’elle fait aujourd’hui, Magaly répond qu’elle aide les femmes à reprendre leur place. Ce n’est pas un slogan, c’est une mission. Trop souvent, les femmes qu’elle accompagne doutent de leur légitimité, s’excusent d’exister, de vendre, d’oser.
Elle leur réapprend à se tenir droite dans leur posture professionnelle. À parler de leur service avec fierté. À fixer un tarif qui reflète la qualité de leur accompagnement.
Sa phrase fétiche ? « Ce n’est pas ta valeur que tu factures, c’est celle de ton service ». Ça change tout.
Magaly Zarka : lever les freins les plus fréquents chez les femmes entrepreneures
Magaly en voit passer, des freins : manque de confiance, peur du regard des autres, syndrome de l’imposteur, tarifs trop bas… Et toujours, cette question qui revient : “Est-ce que j’ai le droit de faire ça ?”
Elle y répond avec des méthodes concrètes, une grosse dose d’énergie, et une écoute qui ne laisse rien passer.
Coach ou mentor ? Elle choisit les deux.
Magaly ne se contente pas de poser des questions. Elle partage. Elle guide. Elle donne des exemples, des retours d’expérience. Elle fait ce qu’elle aurait aimé recevoir elle-même quand elle s’est lancée.
« Une coach pose les bonnes questions. Une mentor donne les clés qu’on n’aurait pas trouvées seule. Moi, je fais les deux. »
Ce double regard, c’est ce qui fait sa force. Ses clientes gagnent en clarté, en confiance, et… en chiffre d’affaires. Certaines doublent leurs tarifs. D’autres lancent enfin leur formation. Le plus difficile ? Commencer.
Créer son personnage entrepreneurial : oser sortir du cadre « run your world »
Magaly ne fait pas que coacher. Elle crée, aussi. Elle a écrit une chanson – « Run Your World » – et prévoit de l’enregistrer en studio. Sa vision : « Personne ne chante l’entrepreneuriat. Alors je vais le faire » ! Résultat ? Elle a écrit une chanson, prévu un enregistrement en studio, et porte son message : faire rayonner les femmes qui osent.
Son ambition ? Être la Lady Gaga de l’entrepreneuriat. Rien que ça. Et pourquoi pas ? Cette énergie, ce grain de folie, ce panache, c’est aussi ce qu’elle transmet à ses clientes. Elle leur donne le droit de s’amuser, de sortir des cases, de se montrer. Quitte à chanter leur pitch si ça les aide à vibrer juste ! Ce qu’elle défend aujourd’hui : l’idée qu’on peut oser être soi, et même s’amuser à le faire.
Magaly Zarka : les clés pour avancer
Les défis récurrents chez les entrepreneures
Durant notre échange, nous avons parlé des freins les plus courants chez les femmes qu’elle accompagne :
– Le syndrome de l’imposteur, toujours là en embuscade
– La difficulté à fixer un prix aligné
– La peur d’être jugée si on se montre
– Le manque de passage à l’action
Et puis, il y a les croyances : « Je dois encore me former », « Je ne suis pas prête », « Ce n’est pas le bon moment »… Spoiler : il ne le sera jamais. Il n’y a que le maintenant !
« Ce que tu regretteras le plus, ce n’est pas d’avoir essayé. C’est de ne pas avoir essayé. »
Les tips que je retiens de notre entretien
1. N’écoute pas les gens qui ne sont pas à l’endroit où tu veux aller.
2. Investis en toi, vraiment. Pas en mode économie.
3. Passe à l’action. Il n’y a jamais de moment parfait.
En bonus, ce que Magaly m’a rappelé :
1. Que notre légitimité ne dépend pas du regard des autres.
2. Que l’entrepreneuriat, c’est aussi de l’audace et du fun.
3. Que se former, c’est bien… mais passer à l’action, c’est mieux.
Et surtout : que les femmes n’ont pas à attendre qu’on leur donne la permission.
Pourquoi écouter cet épisode ?
Parce qu’on y parle vrai.
Parce qu’on y démonte les mythes autour de la réussite.
Et parce que Magaly Zarka, avec son franc-parler et son énergie, donne envie de faire un pas de plus, tout de suite.
A toi de jouer 😉






